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Intolérance au gluten

Autisme et intolerance au gluten.jpg

Le gluten : un pertubateur majeur

Nombreuses sont les personnes souffrant de diverses maladies et troubles dès lors qu’elles s’alimentent avec ce « mythique aliment »
qu’est le pain.


Maladie coeliaque, maladie de Crohn, cancer des intestins, ajoutés aux pathologies psychiatriques et divers troubles du comportement tels l’autisme, l’hyperactivité, les troubles scolaires ou encore la schizophrénie… bref tant de pathologies, troubles mentaux plus divers les uns que les autres dont le principal responsable incriminé est… le gluten du pain ! Et malheureusement, nos enfants sont en première ligne concernant les risques.

 

Pourquoi assistons-nous, de nos jours, à une explosion fulgurante du nombre d’allergies, et principalement d’intolérances aux céréales ?

En quoi le gluten de notre pain serait-il devenu nocif pour l’Homme moderne ? Quel rôle jouerait-il dans les troubles mentaux et du comportement ? L'association Stelior vous informe sur les liens entre l'autisme et le gluten.

 

Agriculture… évolution et mutation.

 

L’agriculture de l’Homme occidental a délaissé depuis longtemps l’exploitation naturelle des cultures au profit de « l’intensif ». Suivant les régions du monde et durant des milliers d’années, les céréales ont été la base de notre nourriture. Le blé, l’orge, l’avoine, le seigle, le riz… autrefois sauvages, présentaient une très grande variabilité génétique mais ceux-ci furent très vite réduits par l’autopollinisation dans les champs puis par la sélection des espèces par l’Homme.

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En effet, dès l’époque romaine, les espèces cultivées présentaient de meilleures capacités à s’agglutiner pour la confection de la pâte à pain, qualité liée à la présence de gluten et furent donc privilégiées.

 

C’est ainsi que les céréales mutantes caractérisées par un rachis solide (le rachis désigne la fixation de la graine à l’épi) tendent à se multiplier dans les zones cultivées, au détriment des céréales ordinaires : le gluten a fait son apparition dans notre « pain quotidien » !

 

Bien que l’agriculture permit la sédentarisation de l’humanité, il y eut cependant un prix à payer : la genèse de nouvelles maladies liées au caractère toxique de l’intolérance au gluten, plus communément appelée la maladie cœliaque.

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Pourquoi y a-t-il de plus en plus de personnes allergiques et intolérantes aux céréales ?

 

Pour comprendre la nocivité du gluten, son implication dans les troubles mentaux, il nous faut explorer les unités catalytiques de nos voies métaboliques essentielles : les systèmes enzymatiques.

 

Je vous amène, donc, avec votre permission, au cœur du carrefour des disciplines biologiques et physicochimiques. Rassurez-vous, je vous épargnerai les mécanismes scientifiques trop complexes. Etes-vous prêt ? Allons-y !


Généralisons : L’intolérance au gluten se résume à un dérèglement de notre système enzymatique.

Intolerance au gluten et autisme.jpg

Les protéines des céréales ne sont, en effet, pas complètement digérées, il en va de notre santé. Même le plus succulent des pains naturels à base de farine de blé bio, pétri avec amour et garanti sans produits chimiques et sans conservateurs, constituerait un redoutable poison pour l’organisme intolérant ! Quels sont les principaux suspects pointés du doigt par bon nombre de chercheurs internationaux (Cf. les études du professeur américain Boyd E. Haley) ? Appelons à la barre les métaux toxiques et les virus…

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Les métaux lourds incriminés

 

Parmi les hypothèses étiopathogéniques les plus fréquemment accréditées
dans la littérature internationale scientifique, nous retrouvons les métaux toxiques tels le plomb, le cadmium, l’aluminium et, enfin, l’ennemi numéro un le plus redoutable, le mercure !

 

Ces métaux, nous les côtoyons au quotidien : amalgames dentaires (mercure, étain, argent), cigarettes (cadmium, mercure), vaccins en général (aluminium jouant le rôle de conservateur) et plus particulièrement le vaccin contre le ROR rubéole-oreillons-rougeole (mercure sous forme de thimérosal), ou encore pesticides en tout genre, additifs et conservateurs alimentaires, etc. (Cf. les études du Pr Boyd E. Haley, biochimiste et toxicologue américain, des épidémiologistes Jean-Jacques Melet et Marie Grosman et des Pr Maurice Rabache et André Picot du CNRS en France).

Peptide gluten enfants autistes.jpg

Et gare aux effets indésirables !

 

En s’accumulant dans l’organisme, les métaux lourds ont une action inhibitrice sur une classe d’enzymes que l’on nomme les peptidases. Ces dernières sont notamment destinées à la dégradation complète d’un ensemble de protéines alimentaires provenant du gluten. Par exemple, le mercure inhibe la DPPIV, une enzyme censée détruire le glutamorphine au cours de la digestion. Quand l’intestin déraille… C’est un véritable empoisonnement chronique qui atteint la personne. Les protéines issues du pain, non complètement dégradées, franchissent en premier lieu la paroi intestinale, déjà altérée par le mercure et les virus, et se retrouvent ainsi dans le torrent du système sanguin

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Ces peptides, alors transformés en « peptides opiacés », vont se comporter dans l’organisme exactement comme certains dérivés morphiniques et se fixer
sur les récepteurs biochimiques spécifiques à ces substances. En occupant et en saturant les récepteurs, les peptides provenant du gluten, mal métabolisés, vont alors entraîner des dérèglements du comportement et favoriser le développement de maladies dégénératives du système nerveux central.

En effet, l’accumulation de ces opioïdes inhibe le développement de ce dernier, provoquant ainsi un dysfonctionnement progressif.

 

Saviez-vous qu’une molécule de gluten contient jusqu’à 16 molécules de dérivés morphiniques ?

 

Par ailleurs, si, et seulement si, ces sujets présentent des dérèglements du mécanisme enzymatique propre à la glia (ensemble des cellules nerveuses du cerveau), en quelque sorte une altération de la barrière hémato-encéphalique, alors ces glutamorphines peuvent, en second lieu, traverser cette membrane, entraînant une accumulation neuronale et par conséquent favoriser le développement de troubles mentaux et comportementaux.

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